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  • Forum Paris pour l'emploi : 5 et 6 Octobre 2017

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    Logo_Salon_pour_l_emploi_paris.JPGMise en place d'un espace dédié aux candidats en situation de handicap

    Carrefours pour l'Emploi organise les 5 et 6 Octobre 2017 le salon "Paris pour l'Emploi", place de la Concorde.

    Au programme : des rencontres candidats/employeurs et candidats/organismes de formation, des conférences sur des thématiques emploi d'actualité, un accompagnement et des conseils personnalisés. Espace handi accueillant : faciliter les rencontres entre candidats en situation de handicap et employeurs

    Le salon dispose d'un espace dédié, dont l'aménagement est pensé pour une circulation autonome des candidats. Des dispositifs spécifiques sont également prévus : plans en braille, interprètes LSF, accompagnateurs… Les conditions sont optimums pour les entretiens. Entrée accessible aux candidats sur présentation d'une invitation à imprimer ou à présenter depuis un smartphone.

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  • Paratriathlon : un Français sacré champion du monde

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    Le 15 septembre dernier, Alexis Hanquinquant a remporté le titre de champion du monde de paratriathlon. Un sacre après son titre de champion d’Europe en juin. Encore une victoire quatre ans seulement après son amputation.

    Champion de France 2017, champion d’Europe 2017 et désormais champion du monde de paratriathlon. Alexis Hanquinquant affiche un palmarès à faire pâlir plus d’un sportif. Et ce, alors que, quatre ans plus tôt, il était inconnu des compétitions handisport.

    Un parcours sans faute

    Son parcours, sans faute, cet originaire d’Yvetot (Seine-Maritime) le doit d’abord à sa détermination sans faille et son engagement exemplaire depuis son accident du travail en 2010, cause de son amputation au niveau du tibia en 2013.

    Lors des championnats du monde à Rotterdam (Pays-Bas), repéré comme favori, il a su tenir son rang. Alexis Hanquinquant s’est imposé au bout d’un parcours réalisé en 1h04, soit plus d’une minute d’avance sur le deuxième. À nouveau placé en très bonne position en vue des Paralympiques de Tokyo dans trois ans, il a bien mérité un peu repos désormais. Avant de repartir pour une saison en or qui sait…

    Article Faire Face - Publié le 20/09/2017

  • Marseille : le "Tiralo" ou la baignade pour tous

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    On peut être handicapé, ou bien comme Odette, Jean Pierre ou Alain, être devenu dépendant à la suite de pathologies liées à l'âge et pour autant garder l'envie de profiter d'une belle journée à la plage à se baigner. Pour que ce rêve puisse se réaliser, il faut une plage équipée de moyens adaptés : les Tiralo, ces fauteuils roulants un peu spéciaux munis de flotteurs, mais aussi de toute une organisation avec l'établissement pour personnes âgées dépendantes qui a accueilli ces trois résidents du Domaine de Fontfrède, maison de retraite médicalisée de Château-Gombert (13e). Sur l'idée de Nadia, auxiliaire de vie dans l'unité de vie protégée, mise en oeuvre par Laetitia, la psychologue de l'établissement, Odette, Jean Pierre et Alain, accompagnés de six résidents valides, se sont rendus à la plage pour profiter de l'eau encore chaude.

    En ce qui concerne l'équipement, la Ville de Marseille met à disposition des usagers le système Tiralo notamment sur la plage du Prado et propose également des cabines adaptées pour réaliser les habillages en tenue de plage. L'accueil y est chaleureux et tous les résidents et les accompagnateurs de la maison de retraite Paola, Laetitia, Nadia et Youri ont pu passer un bel après-midi. L'entrée à l'eau est toujours surprenante car très rapidement on se sent flotter et c'est alors l'occasion de jouer avec l'eau expliquent. Nadia et Youri (aide-soignant) nous avons accompagné les résidents dans l'eau afin de les réassurer au cas où ; mais cela n'a pas été nécessaire.

    De retour au Domaine de Fontfrède, les résidents ravis ont demandé à Philippe Geiller le directeur, de programmer cette activité en juin et en septembre 2018. Ce à quoi il s'est engagé devant tant de joie d'avoir pu réaliser ces petits rêves. Denise 99 ans, venue de Grenoble pour se rapprocher de son fils à Marseille explose de joie et nous dit quelle ne pensait pas un jour pouvoir à nouveau se baigner dans la mer. "Ça fait vraiment du bien, je suis heureuse !" A voir son sourire, c'est sûr !

    Article La Provence - Publié le 24/09/2017

  • Où doit circuler un fauteuil roulant électrique ?

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    fauteuil-roulant-ou-rouler-750x542-750x542.jpgUne personne à mobilité réduite ou en situation de handicap se déplaçant en fauteuil roulant électrique peut-elle circuler sur le trottoir ou doit-elle se rendre sur la route ? Une question pas si incongrue que cela finalement. LesFurets.com vous explique.

    Que dit le Code de la route ?

    Pour être certain de trouver la réponse à cette question, il faut tout simplement se référer au Code de la route. Et celui-ci semble très clair en la matière.

    Depuis mars 2013, selon l’article R.311-1 du Code de la route, le fauteuil roulant électrique n’est plus considéré comme un quadricycle à moteur.
    Cela résulte d’un constat sans appel : les performances d’un tel fauteuil sont bien inférieures à celles d’une voiture. Autrement dit, il n’est pas soumis aux règles des automobiles mais bel et bien à celles des piétons. N’étant pas considérés comme des véhicules à moteurs, ils peuvent circuler sans aucun problème sur les trottoirs et ce, partout en France et en Europe.

    En revanche, si le trottoir est inexistant ou encombré, le fauteuil roulant, à l’image du piéton, doit se rendre sur la route. Malgré cela, les règles restent inchangées et le fauteuil roulant électrique n’est toujours pas considéré comme un véhicule à moteur.
    Ceci est clairement indiqué à l’article R.412-35 du Code de la route.

    Un utilisateur de fauteuil roulant électrique doit-il prendre une assurance ?

    Là encore, on peut naturellement se poser la question dans la mesure où il ne s’agit pas d’un fauteuil manuel. Mais, là encore, le fauteuil roulant électrique n’étant pas considéré comme un quadricycle à moteur, il ne nécessite en aucun cas une assurance. En effet, l’article L211-1 du code des assurances indique que les véhicules terrestres à moteur sont tenus d’être assurés, le fauteuil électrique n’en est pas un.

    En outre, les personnes en situation de handicap qui doivent se déplacer dans un tel fauteuil ne sont pas tenues de détenir le BSR (Brevet de Sécurité Routière), malgré le fait qu’elles soient autorisées à circuler sur la chaussée. Mais si la loi n’impose en rien aux personnes se déplaçant en fauteuil de prendre une assurance auto, il reste toutefois nécessaire de prendre au minimum une assurance responsabilité civile. De fait, elle pourra être utile si la personne en fauteuil roulant électrique percute un piéton ou un véhicule.

    A noter qu’il convient de vérifier son assurance habitation, qui, bien souvent, contient cette assurance responsabilité civile. N’hésitez donc pas à consulter vos différents contrats d’assurance afin d’éviter de souscrire une offre dont vous bénéficieriez déjà.

    Article lesfurets.com - Publié le 07/09/2017

  • Journée Départementale des Aidants 2017

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    Nous vous donnons rdv Vendredi 6 Octobre 2017
    dans les locaux de l'E.H.P.A.D l'Estérel à Salon de Provence

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  • #SiTuPrendsMaPlace...

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    #SiTuPrendsMaPlace… prends mon handicap ! 
    À partager sans modération pour sensibiliser le plus grand nombre autour de vous.

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  • Tétraplégique, il était resté coincé 5 mois chez lui à cause d’une panne de fauteuil

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    Cinq mois sans pouvoir descendre de chez soi. Ce mardi, Zig Blanquer, un Nantais tétraplégique de 37 ans, attaque devant le tribunal d’instance son fabricant de fauteuil roulant électrique. De juin à novembre 2014, en raison d’une panne de son matériel, cet homme n’avait pas eu d’autre choix que de rester cloîtré chez lui, la procédure de réparation ayant traîné en longueur. Parce qu’aucun réel équipement de remplacement ne lui avait été fourni par le prestataire, il lui réclame aujourd’hui 7.940 euros de dommages et intérêts.

    « Les délais de réparation de cette panne ont dépossédé M. Blanquer de la possibilité de mener sa vie, explique Gabrielle Gerll, membre du comité de soutien à l’autonomie technique des personnes handicapées, qui s’est créé pour dénoncer le cas de ce Nantais. Il est resté alité pendant cinq mois et tout s’est arrêté. Moralement et physiquement, c’était très violent, un cauchemar. »

    Car au-delà d’être son moyen de locomotion, le fauteuil en question permet à l’homme de changer de posture et relâcher ses tensions musculaires. Plusieurs appareils lui avaient été proposés « mais ce n’était pas approprié pour M. Blanquer, qui ne peut piloter qu’un mini joystick, avec un seul doigt », continue Gabrielle Gerll (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article 20 Minutes - Publié le 19/09/2017