• Le talent des jeunes handicapés récompensé au festival d'Angoulême

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    Article de presse sur le journal de la Provence en date du 1er mars 2017

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  • Handicap dans les transports : en finir avec la galère ?

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    Trains, bus, métro : prendre les transports en commun pour les personnes handicapées reste toujours difficile même si des progrès sont constatés. A Toulouse, fin 2016, un étudiant a porté plainte contre la SNCF pour "discrimination"

    Obligés de m'enjamber

    "Je me considère comme un véritable citoyen, et j'ai l'impression que mes droits sont bafoués". Pour Kevin Fermine, 25 ans, atteint du "syndrome de Little" (dégénérescence des neurones) et en fauteuil roulant depuis son plus jeune âge, c'est lors de voyages réguliers entre Montpellier, Toulouse et Paris que la colère a commencé à monter. "Je suis placé au milieu de la rame, les autres passagers sont obligés de m'enjamber. Je n'ai pas accès aux toilettes. [...] Je n'ai pas accès à la voiture-bar. Le bouton d'assistance est très souvent désactivé", énumère cet étudiant en droit, qui vit avec un chien d'assistance. Sur un long trajet, "il m'est déjà arrivé de m'uriner dessus, tout simplement parce que je n'ai pas pu aller aux toilettes. C'est vraiment très dégradant, je ne le supporte plus", s'emporte-t-il.

    Une première loi en 1975

    Kevin a donc décidé d'entamer une procédure au tribunal administratif pour "mise en conformité", sous peine d'astreinte. "Je suis conscient que les problèmes ne peuvent pas se régler du jour au lendemain à l'aide d'une baguette magique, mais il faut se dire, quand même, que la première loi d'accessibilité date de 1975", rappelle-t-il. En 2005, la loi handicap prévoyait que les lieux et transports publics soient accessibles aux quelque 10 millions de personnes souffrant d'un handicap - moteur, visuel, mental ou auditif - avant le 1er janvier 2015. Cette échéance n'ayant pas été respectée, la loi du 5 août 2015 a instauré de nouveaux délais : trois ans pour les transports urbains, six ans pour les liaisons interurbaines et neuf ans pour le trafic ferroviaire.

    Difficultés pour les fauteuils électriques

    Dans le cas de M. Fermine, "c'est malheureusement réel, les faits sont incontestables, mais ça s'explique", a réagi auprès de l'AFP Carole Guéchi, directrice de l'accessibilité à la SNCF. "Pour les personnes en fauteuil électrique, les difficultés de voyage sur certaines lignes sont avérées". "Le TGV Atlantique date de 1980, et le Duplex de 1995, donc ce ne sont pas des TGV jeunes et, du coup, la réglementation en vigueur à l'époque quand on faisait de l'accessibilité, c'est loin, loin, loin de ce qu'on fait aujourd'hui". Mais "la situation est en train d'évoluer", souligne-t-elle, notamment avec les nouvelles rames TER Regiolis et le TGV Océane.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-transport-handicap-d...

     

    Source : Handicap.fr

  • Le secourisme s'ouvre aux personnes en situation de handicap

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    C'est désormais officiel. Le handicap n'est pas une barrière à l'apprentissage du secourisme. A l'heure où chaque citoyen est appelé à devenir un acteur à part entière de la sécurité civile, les personnes à mobilité réduite (PMR) sont appelées à jouer pleinement leur rôle de sauveteurs potentiels. Un acquis dorénavant officiellement reconnu depuis la parution au Journal officiel de l'arrêté du 11 mars dernier qui fait entrer formellement en vigueur l'arrêté du 21 décembre 2016 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à l'unité d'enseignement "Prévention et secours civiques de niveau 1" (PSC1). (Source Secours MAG)

    Voici l'article illustrant bien cet événement, cliquez ici.pdf

    En effet, Gilles RUIZ, le Conseiller Municipal d'ARLES avait été reçu le mois dernier au Salon secours expo à Paris Avec Mireille FOUQUEAU, Directrice Territoriale Bouches du Rhône/Vaucluse.

     

     

  • À 27 ans, j'ai une sclérose en plaques. Je dois lutter pour qu'on me laisse travailler

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    Eric a 27 ans. L’année dernière, après un malaise sur son lieu de travail, on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques. Du jour au lendemain, sa vie a été bouleversée. Pourtant, le combat le plus difficile à mener n’est pas celui auquel on pourrait s’attendre : depuis trois mois, Eric se bat pour avoir le droit de travailler. Témoignage.

    Tout commence à la fin du mois de février 2016. Je ressens quotidiennement des douleurs à la jambe gauche, elles me déstabilisent, un peu comme si j’étais alcoolisé. Ma main gauche, elle aussi, me fait mal et me brûle. Ça s’amplifie de jour en jour. J’ai progressivement des vertiges, des maux de tête, des troubles de la parole et même de la vision… Je sens bien qu’il y a un problème et je vais voir un médecin. Ce dernier me dit que ce n’est pas grave, que tout ça peut s’expliquer parce que je suis trop stressé.

    Un mois plus tard, je m’écroule sur mon lieu de travail. En quelques heures, les symptômes se sont intensifiés, si bien que je suis pris en charge par les pompiers. S’ensuit une hospitalisation. Je passe une batterie d’examens aux urgences, parmi lesquels une IRM, un scanner et une prise de sang. Sur les résultats de la première, on voit clairement des inflammations du cerveau qui prennent la forme de plaques blanches. Au fil des heures, le regard des soignants qui m’entourent commence à changer. 

    Le diagnostic, c’est un choc électrique qui parcourt tout votre corps

    Un jour, un interne vient me voir dans ma chambre, au service neurologie de l’hôpital. Il s’assoit à côté de moi, regarde son dossier, me regarde ensuite et m’annonce qu’ils suspectent une sclérose en plaques. Il m’explique que c’est une maladie neuro-dégénérative incurable, qui se traite pourtant bien de nos jours.

    Le diagnostic, c’est comme un choc électrique qui vous traverse de la pointe des cheveux jusqu’à la plante des pieds. En tant que pompier volontaire, j’entendais souvent des gens me dire : "J’ai été frappé par la maladie". Ce jour-là, je prends très bien conscience de ce qu’ils ont pu ressentir quand on a mis un nom sur ce dont ils souffraient.

    L’interne n’avait pas dit à son chef de service qu’il m’avait vu. Ce dernier s’est donc empressé de venir me rassurer. Je n’en veux pas à l’interne mais je sais que je n’oublierai jamais ses mots. J’ai tout de suite été placé sous cortisone pour plusieurs jours : d’après les médecins, il n’y a que ça qui permet de ralentir les poussées de la maladie.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1660497-a-27-ans...

     

    Source : L'OBS le plus 

  • Handicap et présidentielles : résultats d’une enquête inédite APF-Ifop

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    Résultats d’une enquête inédite APF-Ifop,
    de près de 5.000 répondants, sur les conditions de vie, aspirations et intentions de vote
    des personnes concernées par le handicap

    Aujourd'hui l'Association des Paralysés de France (APF) fait le constat que les personnes en situation de handicap et leur famille sont les grandes oubliées de cette campagne présidentielle 2017. Ces dernières sont parfois présentées comme un « poids pour la société » ! Et l’APF souhaite mettre en lumière le poids électoral que représentent les personnes en situation de handicap et leur famille, car 1 personne sur 5, en France, est concernée par le handicap ! 
    Avec son enquête « Elections 2017 et handicap » réalisée par l’Ifop, l’APF fait un état de lieux des conditions de vie, aspirations et intentions de vote des personnes concernées par le handicap.
    • 79% des personnes en situation de handicap déclarent s’en sortir difficilement avec les ressources de leur foyer.
    • 92% des personnes en situation de handicap et 80% du grand public n’ont pas confiance dans la classe politique pour que les difficultés des personnes en situation de handicap soient mieux prises en compte dans la société.
    • 94% des personnes en situation de handicap et 87% du grand public estiment que le handicap n'occupe pas une place suffisamment importante dans la campagne
    Contacts presse
    APF : Evelyne Weymann : evelyne.weymann@apf.asso.fr – 01 40 78 56 59 – 06 89 74 97 37
    Immédias : Jean-Claude Roux : 06 07 57 60 30 et Anne Rabasse : 06 62 59 41 41
  • Planning des sorties avril, mai et juin 2017

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    Le nouveau programme des sorties du 2ème trimestre est disponible.

    Vous allez le recevoir prochainement par courrier.

    Vous pouvez le consulter en ligne en cliquant sur le lien suivant : Programme sorties 2em Trimestre 2017 V1.pdf

     

    Nous vous attendons nombreux :-)