• Participez à « l’agora du XXIe siècle » avec Stades Citoyens !

    Imprimer

    4034739279.png

    L’APF soutient le pari de l’association Stades Citoyens : réunir 80 000 personnes au Stade de France pour une "agora du XXIe siècle » le 22 avril prochain.

    Une initiative dans le même esprit que la démarche participative #2017Agirensemble lancée par l’APF qui donne la parole aux citoyennes et citoyens pour une société solidaire et ouvertes à toutes et tous.

    Pour s’inscrire à l’évènement, cliquez ici

    Pour en savoir plus :

     

    Source de l'article : reflexe-handicap

  • Sessions d'informations au FAM la Garance

    Imprimer

    Bonjour à tous !

    Le FAM la Garance organise 4 sessions d'information GRATUITES sur la SEP (sclérose en plaques), SLA (sclérose latérale amyotrophique) et la maladie de Huntington.

    Elles se déroulerons les vendredis suivant à 14h00; 195 impasse des Hauts Mûriers 84210 ALTHEN DES PALUDS

    - 10 février

    - 28 avril

    - 29 septembre

    - 8 décembre

    Pour plus d'informations vous pouvez les contacter au 04 90 37 21 84 et par mail : secretariat@lagarance84.fr

  • Des lames de carbone prêtées aux enfants amputés

    Imprimer

    Elle porte bien son nom : Lames de joie. Cette association, créée en 2016 à Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, permet à de jeunes amputés de pratiquer leur sport favori.

    Durant toute leur croissance, elle leur remet gratuitement des lames de carbone, valant habituellement 3 000 à 4 000 euros l’unité et devant être changées au fur et à mesure de leur croissance. Et ce sans aucune caution. C’est dire l’avantage, notamment financier, que les familles tirent de cette initiative !

    Une association et une fondation main dans la main

    Cette dernière est à mettre au crédit de deux hommes : un chef d’entreprise, Jean-Marc Lamblin, président de l’association, et un médecin, Frédéric Charlaté, qui travaille avec des enfants amputés à la fondation Hopale de Berck.

    L’activité de l’association est financée par des dons reversés à ladite fondation. Fondation qui stocke le matériel et le fait parvenir aux prothésistes en faisant la demande. À ce jour, huit enfants en ont déjà bénéficié. Ce n’est qu’un début.

     

    Source : 20 minutes.fr et Handirect 

  • Faire de Lyon la première métropole aidante de France

    Imprimer

    La construction d’une maison de répit débutera à Lyon en mars 2017. Ce sera la première pierre d’un dispositif plus large baptisée « Métropole aidante ».

    Les 5 et 6 décembre derniers, la Fondation France Répit a organisé à Lyon la seconde édition des Rencontres francophones sur le répit. Un événement biennal destiné à réunir l’ensemble des acteurs concernés pour échanger et développer des pistes de réflexion pour l’avenir. Nous sommes allés à la rencontre d’Henri de Rohan-Chabot, délégué général de la Fondation France Répit.

    Quels sont les objectifs des Rencontres francophones sur le répit ?

    L’objectif est de réunir des aidants familiaux et professionnels autour de la question de l’accompagnement et des 9 millions de personnes en France qui prennent soin à domicile d’un proche malade, dépendant, en situation de handicap. Ceux qu’on appelle les aidants et qui ont besoin d’un accompagnement renforcé par rapport à ce qui existe aujourd’hui tant les situations d’épuisement sont fréquentes et appellent des réponses nouvelles. Le but est donc de réunir, une fois tous les deux ans, l’ensemble des acteurs – collectivités territoriales, associations de patients, gestionnaires d’établissements médico-sociaux ou sanitaires, familles concernées – faire progresser ensemble la cause du répit.

    Quelles ont été les particularités de cette seconde édition ?

    Cette édition proposait de grandes conférences animées par des orateurs reconnus dans leurs disciplines – notamment Pascal Jacob, les Professeurs Régis Aubry et Charles Gardou –  qui viennent apporter une approche anthropologique, sociologique ou philosophique. Nous avons également proposé huit ateliers thématiques, qui étaient eux très ancrés dans la réalité des offres de répit et d’accompagnement ; et des cafés du répit où nous avons abordé avec les familles la question du répit en lien avec le handicap, le cancer, l’autisme et la maladie d’Alzheimer. D’autres choses sont venues compléter, notamment le studio de la radio Vivre FM qui a été installé dans les coulisses des rencontres pendant deux jours avec 6 heures de grand direct. Nous avons aussi installé une salle de projection et un espace d’exposition avec une vingtaine de stands présentés. Tout cela a créé un grand carrefour où l’on s’est retrouvés, issus d’horizons différents mais mobilisés par la même problématique, pour essayer de réfléchir, d’échanger, de regarder ce que font les uns les autres. Nous avons eu 350 inscrits sur les deux jours.

    Aujourd’hui où en est-on en France par rapport au thème du répit ?

    Je pense que depuis deux ans, les choses ont progressé dans la prise de conscience. Les pouvoirs publics, au plus haut sommet de l’État – au Ministère de la santé – ont bien compris que si on veut que le domicile tienne il faut le soutenir (dans un contexte de virage ambulatoire on renvoie les gens chez eux assez vite après leur hospitalisation, ce qui est aussi une demande des familles). Si on ne soutient pas ce domicile, il y a des dégâts collatéraux qui sont terribles pour les proches, les aidants, les parents, les enfants, les conjoints… et cela a des impacts très forts sur la vie sociale, familiale et professionnelle. Donc notre système de santé, qui a engagé le virage ambulatoire, doit maintenant consolider le domicile pour permettre aux familles de tenir et que cette prise en charge à domicile soit soutenable dans la durée.
    Par ailleurs, plusieurs textes législatifs sont intervenus : Plan Maladies Neurodégénératives, Plan Cancer renouvelé récemment, loi d’adaptation de la société française au vieillissement de fin 2015. Ces trois textes, au moins, se préoccupent de la question des aidants et instaurent un droit au répit et un statut pour les aidants. On voit bien qu’on passe progressivement de la prise de conscience aux premières mesures. Il n’empêche que les décisions qui ont été prises sont des gouttes d’eau dans l’océan de souffrance des aidants. Les droits ne sont limités qu’à un tout petit nombre de personnes et de situations. Le statut des aidants… il n’y en n’a pas vraiment. Un congé pour les proches aidants a été instauré mais il remplace en fait un congé d’accompagnement qui préexistait. Donc des mesures sont prises, mais il n’y a pas de plan d’ensemble. Nous appelons, avec d’autres, à la mise en place en France, non pas d’un petit bout de répit dans le plan Cancer ou Alzheimer, mais d’un plan qui soit transversal : un vrai plan national de répit, et c’est une urgence pour notre pays dans lequel 9 millions de personnes sont aidantes, et pour certaines en grande souffrance. On a besoin que ces aidants, dans leur ensemble, quelle que soit la situation clinique de leur proche ou son âge, puissent bénéficier de temps de pause ou d’accompagnement pour mieux vivre ces épreuves de la vie qui les touchent.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.handirect.fr/faire-de-lyon-premiere-metropole-...

     

    Source : Handirect 

  • Une exposition accessible pour tout connaître des ours

    Imprimer

    Espèces d’ours : Une exposition accessible à découvrir seul, en famille, ou entre amis jusqu’au 19 juin 2017 au Muséum d’Histoire Naturelle de Paris.

    Que vous soyez fans de gros nounours sauvages, avides de nouvelles connaissances sur la nature ou simplement curieux de tout ce qui vous entoure, l’exposition accessible « Espèces d’ours » va certainement retenir votre attention. Présentée au sein de la Grande Galerie de l’Évolution du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris, cette exposition propose en effet de découvrir les ours sous un jour différent à travers de nombreux supports ludiques : photographies, projections, objets à manipuler… mais aussi ateliers et animations ludiques en intérieur et en plein air. Espèces d’ours ! a été conçue par le Muséum national d’Histoire naturelle à partir d’une exposition du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse.

    Des animations pour tous les goûts et tous les âges

    « À travers cinq parties, le public peut approcher d’un peu plus près ces animaux sauvages tout en bousculant son imaginaire sur les huit espèces d’ours qui peuplent actuellement la Terre. Quelles sont leurs caractéristiques biologiques, leurs divers habitats, leur histoire évolutive, leurs relations avec les hommes, les mythes et légendes qui leur sont associés ? Et comment parler de ces animaux, références tantôt féroces, tantôt enfantines, sans évoquer les menaces qui pèsent sur eux et les enjeux liés à leur conservation ? », commentent les organisateurs.

    Ils complètent : « Plus d’une centaine d’objets issus des collections du Muséum mais aussi prêtés par des institutions extérieures, sont présentés dans l’exposition. Il y a notamment 25 spécimens d’ours naturalisés et plus d’une vingtaine de pièces ostéologiques, dont 3 squelettes complets d’ours. Le visiteur peut ainsi naviguer entre ces objets d’une incroyable richesse et des dispositifs interactifs variés : bornes multimédia, projections, manipulations. Un espace pédagogique attenant à l’exposition propose aussi plusieurs ateliers. Tandis que pour clôturer la visite, le public est invité à sortir de la Galerie afin de partir à la recherche des onze « ours » du Jardin des Plantes ».

    Une exposition accessible aux différents types de handicap avec des parcours de visite adaptés

    Autre particularité: c’est une exposition accessible à tous. Le Muséum d’Histoire Naturelle a fait en sorte de la rendre accessible au plus grand nombre, en mettant en place des parcours adaptés aux différents types de handicaps : visuel, auditif, moteur et intellectuel.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.handirect.fr/exposition-accessible-savoir-ours/

     

    Source: Handirect 

  • L’APF partie prenante de l’ouvrage collectif "Chômage, précarité : halte aux idées reçues" !

    Imprimer

    321235507.jpgPour la première fois, 25 organisations qui luttent concrètement et quotidiennement contre le chômage et la précarité se réunissent pour dénoncer, dans un livre, 26 idées reçues sur ces problématiques. Une démarche collective inédite soutenue par le cinéaste anglais Ken Loach, qui a écrit la préface. L’APF, partie prenante du projet, a rédigé l’idée reçue n°12 sur les personnes en situation de handicap : « Les chômeurs en situation de handicap sont incassables ! ». Le livre « Chômage, précarité : Halte aux idées reçues ! » paraîtra le 19 janvier.

    Pour lire le dossier de presse, cliquez ici

    Pour lire l’intervention de Pascale Ribes, Vice-Présidente de l’APF, à la conférence de presse de lancement de ce jour, cliquez ici

     

    Pour suivre l’actualité du livre et les événements autour de celui-ci, rendez-vous sur la page Facebook et/ou le compte Twitter dédiés.

    Source de l'article : http://www.reflexe-handicap.org/

  • Formation 1er secours pour les personnes en situation de handicap

    Imprimer

    Une initiative arlésienne a permis de faire avancer la loi sur le handicap et le secourisme. Pour la première fois, une session de diplôme de premiers secours, accessible à tous, était organisée le 09 janvier 2017 à la salle des fêtes d'Arles en présence des élus locaux, de la Croix Blanche et de l'APF.

    Permettre aux personnes à mobilité réduite d'obtenir un brevet de secourisme reconnue, voilà l'initiative de Mr Gilles RUIZ, ancien Sapeur-pompier et élu de la Ville d'Arles. Désormais, les personnes en situation de handicap peuvent passer le diplôme de prévention et de secours civiques niveau 1 (PSC1). 

    Le chemin a été long à parcourir mais le résultat est là ! "L'arrêté vient d'être modifiée par la Direction Générale de la Sécurité Civile. Il sera bientôt publié au Journal officiel" se réjouit Gilles RUIZ.

     

    Les journalistes de France 3 étaient présents, pour visualiser l'interview, cliquez ici (vous pouvez avancer le JT à 12 minutes 42).

     

     

  • Résultat des élections de la CNPJ et des groupes nationaux

    Imprimer

    Au cours des mois de décembre 2016 et janvier 2017, les membres du Conseil APF de Département (CAPFD) de votre région ont été appelés à voter pour l'élection des membres de la Commission Nationale Politique de la Jeunesse (CNPJ) et des trois groupes nationaux. 

    Après avoir procédé au dépouillement des votes le 12 janvier 2017, le Comité de pilotage a le plaisir de vous communiquer les résultats ci-dessous :

    Résultat des élections CNPJ et groupes nationaux.pdf 

    Pour toute information ou contestation, vous pouvez contacter le comité de pilotage via un courrier adressé au comité de pilotage, au plus tard le 26 janvier 2017.