Loisirs - Page 9

  • Marseille : le "Tiralo" ou la baignade pour tous

    Imprimer

    tiralo_marseille.jpg

    On peut être handicapé, ou bien comme Odette, Jean Pierre ou Alain, être devenu dépendant à la suite de pathologies liées à l'âge et pour autant garder l'envie de profiter d'une belle journée à la plage à se baigner. Pour que ce rêve puisse se réaliser, il faut une plage équipée de moyens adaptés : les Tiralo, ces fauteuils roulants un peu spéciaux munis de flotteurs, mais aussi de toute une organisation avec l'établissement pour personnes âgées dépendantes qui a accueilli ces trois résidents du Domaine de Fontfrède, maison de retraite médicalisée de Château-Gombert (13e). Sur l'idée de Nadia, auxiliaire de vie dans l'unité de vie protégée, mise en oeuvre par Laetitia, la psychologue de l'établissement, Odette, Jean Pierre et Alain, accompagnés de six résidents valides, se sont rendus à la plage pour profiter de l'eau encore chaude.

    En ce qui concerne l'équipement, la Ville de Marseille met à disposition des usagers le système Tiralo notamment sur la plage du Prado et propose également des cabines adaptées pour réaliser les habillages en tenue de plage. L'accueil y est chaleureux et tous les résidents et les accompagnateurs de la maison de retraite Paola, Laetitia, Nadia et Youri ont pu passer un bel après-midi. L'entrée à l'eau est toujours surprenante car très rapidement on se sent flotter et c'est alors l'occasion de jouer avec l'eau expliquent. Nadia et Youri (aide-soignant) nous avons accompagné les résidents dans l'eau afin de les réassurer au cas où ; mais cela n'a pas été nécessaire.

    De retour au Domaine de Fontfrède, les résidents ravis ont demandé à Philippe Geiller le directeur, de programmer cette activité en juin et en septembre 2018. Ce à quoi il s'est engagé devant tant de joie d'avoir pu réaliser ces petits rêves. Denise 99 ans, venue de Grenoble pour se rapprocher de son fils à Marseille explose de joie et nous dit quelle ne pensait pas un jour pouvoir à nouveau se baigner dans la mer. "Ça fait vraiment du bien, je suis heureuse !" A voir son sourire, c'est sûr !

    Article La Provence - Publié le 24/09/2017

  • Le Tennis en fauteuil s'invite sur la French Riviera

    Imprimer

    French_riviera_tennis_pmr.JPG

    DU 26 AU 30 SEPTEMBRE, LE TENNIS EN FAUTEUIL SERA À L’HONNEUR À LA MOURATOGLOU TENNIS ACADEMY, À BIOT, À L’OCCASION DE LA 1ÈRE ÉDITION DU FRENCH RIVIERA OPEN, UN TOURNOI DIRIGÉ PAR MICHAËL JÉRÉMIASZ, PORTE DRAPEAU DE L’ÉQUIPE DE FRANCE PARALYMPIQUE L’AN DERNIER À RIO (...)

    « Cela faisait dix ans que je voulais organiser un tournoi comme celui-ci, nous a confié Michaël Jérémiasz, directeur de l’épreuve. Je suis excité et impatient. Il y a toujours un petit stress mais je sais que je peux compter sur les membres de l’académie Mouratoglou, qui sont au top. Ce sera le premier événement paralympique organisé en France depuis l’annonce de l’attribution des J.O. 2024 à Paris. Une formidable opportunité de faire la promotion du tennis en fauteuil. » (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article Tennis Magazine - Publié le 21/09/2017

  • La Bédoule met l'accent sur le tennis en fauteuil

    Imprimer

    Bedoule.jpg

    Le Tennis Club de Roquefort-la-Bédoule accueillera du 21 au 24 septembre prochains l'élite française du tennis en fauteuil pour la 9e édition du Provence Open tennis en fauteuil. Le tournoi, organisé depuis 1999 par le président du TCRB, Bernard Tassaro, est le premier tournoi national handisport de tennis en fauteuil à avoir été mis en place en France. Il fait désormais partie des 22 villes organisatrices du circuit France Open tennis en fauteuil. "C'est une grande fierté pour nous d'organiser ce tournoi, avoue Bernard Tassaro, président du Tennis Club de Roquefort-la-Bédoule depuis 22 ans. On a d'abord fait un essai il y a dix-sept ans de ça, depuis, on s'est spécialisé et on a beaucoup misé sur ce côté-là du sport. Je pense qu'on doit faire partie du Top 5 des clubs handisport en termes de qualité d'accès." (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article La Provence - Publié le 14/09/2017

  • Festival International du Film sur le Handicap  : tout le programme de l’édition 2017

    Imprimer

    festival_international_du_film_sur_le_handicap_programme.jpg

    Un festival qui casse les stéréotypes sur le handicap. 

    La première édition du Festival International du Film sur le Handicap (FIFH) a suscité tellement d’engouement qu’il était nécessaire de continuer à montrer ce qu’est le handicap, à travers des films et des documentaires.
    "Cette deuxième édition sera une nouvelle opportunité́ pour qui aurait encore des préjugés, des appréhensions, voire des peurs vis-à-vis du handicap – des handicaps –, à venir s’ouvrir à ce monde parallèle... qu’en réalité nous partageons", déclare Katia Martin-Maresco, fondatrice et directrice du FIFH. 

    Le Festival International du Film sur le Handicap se tiendra à Cannes du vendredi 15 au mercredi 20 septembre, avec une soixantaine de films en compétition, répartis en sept sélections : courts-métrages et longs-métrages de fictions, courts-métrages et longs-métrages documentaires, courts-métrages d’animation, courts-métrages jeunesse, et courts-métrages 3ème ange. 
    De plus, le Brésil, l’Espagne, l’Italie, et les Etats-Unis sont à l’honneur pour faire découvrir au public français comment le handicap est traité dans leur pays. (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article Première - Publié le 05/09/2017

  • Myopathie : elle raconte l'évolution de sa maladie à travers des dessins

    Imprimer

    KamRedlawsk.jpg

    Kam Redlawsk, une jeune artiste de 28 ans, est atteinte d'une forme de myopathie très rare, qui affaiblit progressivement ses muscles. A travers des illustrations émouvantes, elle raconte la progression de sa maladie.

    Depuis ses 20 ans, Kam Redlawsk, une artiste de 28 ans souffre d'une forme de myopathie extrêmement rare, qui affaiblit ses muscles de jour en jour, la contraignant à se déplacer en fauteuil roulant. Appelée myopathie à corps d'inclusion, cette maladie touche environ 7 000 personnes dans le monde. Elle se manifeste à l'adolescence par une faiblesse musculaire qui touche d'abord les muscles inférieurs puis supérieurs, pouvant conduire à une paralysie totale. Etudiante en design au College For Creative Studies à Détroit aux Etats-Unis, les médecins lui conseillent d'arrêter ses études, mais elle décide de ne pas baisser les bras.

    Aujourd'hui diplômée, c'est à travers des dessins touchants partagés sur les réseaux sociaux que Kam Redlawsk a ressenti le besoin d'expliquer l'évolution de sa maladie, ses angoisses et son état d'esprit au quotidien (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article topsante.com -Publié le 24/08/2017

  • Près de trente ans après un accident, une violoniste handicapée rejoue par la pensée

    Imprimer

    violonn.jpg

    Violoniste professionnelle, Rosemary Johnson a été victime d'un grave accident de la route en 1988. Depuis, elle est lourdement handicapée. Grâce à des capteurs placés sur son crâne, elle a pu rejouer de la musique pour la première fois.

    En 1988, Rosemary Johnson, violoniste au sein de l'Orchestre national de l'Opéra du Pays de Galles, est victime d'un grave accident de la route alors qu'elle se rend à un concert. Elle en sort lourdement handicapée et sa carrière s'achève alors qu'elle n'a que 22 ans. Depuis, elle se déplace en fauteuil roulant et ne peut plus parler. Grâce à l'université de Plymouth, elle a pu rejouer de son instrument.

    Tenir son violon reste impossible mais les chercheurs ont développé un casque relié à des électrodes et capable de lire les impulsions électriques produites par le cerveau. Munie de cet outil, Rosemary Johnson doit se concentrer sur des couleurs correspondant à des notes. Sa pensée est retranscrite sur un écran, semblable à une partition classique, et peut être jouée par un soliste ou un petit orchestre. Il lui est aussi possible d'agir sur la durée et le volume des notes (...) Cliquez pour lire la suite.


    Article francemusique.fr - Publié le 28/08/2017

  • Vaucluse : Jean Coton a descendu le Ventoux... en fauteuil !

    Imprimer

    vaucluse_ventoux_pmr.jpg

    Hémiplégique à la suite d'un AVC, il y a sept ans, le Saint-Romanais a réalisé un rêve.

    Pari tenu ! Installé à Saint-Romain en Viennois, entre Vaison et Puyméras, Jean Coton, hémiplégique à la suite d'un AVC, a réalisé son rêve.

    Mardi dernier, le Saint-Romanais a "enfourché" son fauteuil et s'est lancé dans la descente du Ventoux. Parti du Mont Serein, il a rejoint en 2h25' la source du Groseau, au-dessus de Malaucène, soit 12,6 km de descente avec une vitesse moyenne de 5,6 km/h. Mais, tout cela a demandé une préparation minutieuse. "J'ai eu une équipe formidable : ma femme Bernadette et mon fils qui m'ont aidé à monter en voiture avec une remorque chargée de deux fauteuils au cas où..."

    Un changement de fauteuil en cours de route.

    Et effectivement, le deuxième fauteuil n'a pas été de trop car les fortes pentes ont généré un freinage automatique problématique... qui a nécessité un changement de fauteuil en cours de route. Pas simple... mais la voiture suiveuse a assuré. "Je me sentais bien car c'est un rêve qui se réalisait (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article La Provence - Publié le 06/09/2017

  • A Rueil-Malmaison, on a testé le basket en fauteuil

    Imprimer

    basket_pmr.jpg

    Pour promouvoir l’esprit olympique, des démonstrations de sports paralympiques sur le parvis de l'hôtel de ville, ce jeudi.

    Changer les regards, les comportements et les relations entre le monde du handicap et celui des valides. Le tout à quelques jours de l’attribution des Jeux Olympiques 2024. Voilà l’objectif de l’entreprise sociale Handiamo qui, a organisé, ce jeudi, des ateliers découverte de sports paralympiques sur le parvis de l’hôtel de ville de Rueil-Malmaison. Au programme : athlétisme, escrime et basket en fauteuil.

    De 14 h à 18 h, élus, sapeurs-pompiers et enfants des centres de loisirs de Rueil se sont tour à tour glissés dans la peau des stars de l’handisport. Un défi que Le Parisien a, lui aussi, tenu à relever sur le terrain de basket.

    Première difficulté : faire corps avec son fauteuil. Avant même de penser au ballon ou à votre adresse face au panier, il s’avère indispensable de se familiariser avec le maniement de l’engin. En ligne droite, pas de problème. Mais les choses se compliquent dès qu’il s’agit d’amorcer un virage. Et elles se corsent encore un peu plus quand, à la perte du ballon, on doit effectuer un rapide demi-tour pour défendre son camp (...) Cliquez pour lire la suite.

    Article Le Parisien - Publié le 31/08/2017